mercredi 29 avril 2009

Vous avez dit quel formulaire?

Hello les amis.

Fin de ma saison 2 de HIMYM (How I Met Your Mother pour les ignares et pour ceux qui n'ont pas lu ce billet). Snif... Qu'est-ce que je vais regarder moi? Bon je sais, il y a la saison 3 en DVD (oui moi je regarde les séries en DVD et non pas en piraté... Car piraté un film c'est du vol comme le dit le petit film avec la super musique rock au début de chaque film). Bref, là n’est pas le sujet.


Dernièrement j’ai développé les quatre ateliers sur lesquels je vais bosser pour faire avancer la création de ma boîte.


Avant de pousser plus avant les investigations, un peu comme Horacio et ses Ray Ban dans Les Experts, faisons un point (ou une virgule, vous choisissez hein, je suis pas difficile) sur les différentes principales étapes qui seront à remplir dans l'atelier Administratif.

- Trouver un nom.
Et plus important que de trouver un nom, s’assurer qu’il n’est pas déjà pris et le déposer officiellement. La classe, quoi !


- Choisir le statut de la société.
Là, gros dossier. Ce sera autre chose que trouver des noms, tâche que l’on pourra accomplir comme tout bon brainstorming de ce genre, entre deux trois potes bourrés, autour de chips et de verres de vin, dans un bar miteux de la capitale.
Non, là il s’agira de réellement définir la base officielle sur laquelle reposera la société et donc qui décidera de sa future organisation et législation.
Ok, vous l’avez compris, gros dossier.


- Dans le même genre, il faudra ensuite s’occuper de l’immatriculation de la société.
Là, ma tendre et chère pourra sans doute m’aider, elle-même ayant monté une boîte de services à la personne.
Rien à voir avec ma branche me direz-vous, mais les démarches d’immatriculation sont à peu près les mêmes (je dis bien à peu près).


- Enfin, quand tout cela sera terminé, un petit café et un croissant.



Evidemment, cet atelier est sans doute l’un des plus importants avec celui des Finances, concernant tout ce qui va être bases législatives et statut officiel de la boîte. Car malgré toute la bonne volonté et les bonnes idées, si les côtés juridiques et administratifs ne sont pas clairs et sains, alors c’est toute l’organisation et la vie même de la boîte qui peut vaciller.


L’expérience dans mon ancienne boîte l’a prouvée.


Voilà les enfants, je crois que j’ai fait un tour assez intéressant de cet atelier. Evidemment, je pense que pas mal de points auront besoin d’être développés voir divisés en sous catégories.


De la même façon, d’autres points et d’autres étapes risquent de s’ajouter à cet atelier au fur et à mesure de mes pérégrinations.

Et je vous dis à tout à l’heure.
(Politique zéro cadeau, 100% blabla)



jeudi 23 avril 2009

Vous êtes inscrit à quel atelier?

Et oui comme à l’école ou dans le gouvernement, pour pouvoir avancer concrètement et de manière efficace, il faut que je m’organise en atelier.

Et là, comme je vous l’avais dit récemment, j’en appelle à l’excellent blog de Jean-Hubert DENECHAUD qui appelle cela des Axes de Travail.


Dans un précédent billet, je vous avais dit que voler des idées ce n’est pas bien et bien non, ce n’est pas bien, mais là je ne vole pas, je m’en inspire... Hum...

En tout cas, et même si ce n'est pas joli joli (mais rigolo rigolo), je vais reprendre mot pour mot les 4 ateliers qu’il a décryptés. Leur contenu sera évidemment différent.



1. ADMINISTRATIF / REGLEMENTAIRE
Les démarches administratives, obligatoires.
 2. COMMERCIAL / MARKETING
Il s’agira de décrire et de décrypter mes axes stratégiques de travail, de voir comment dénicher des projets, les mettre sur pied et tout faire pour qu’ils rapportent quelques peccadilles.
3. ORGANISATION / OPERATIONS
Atelier qui touche à la vie même de ma future entreprise. Organisation, règles à mettre en place et procédures de travail pour que tout roule une fois que la société sera lancée.
4. FINANCES
Mon atelier préféré vu que je suis une bille dans ce domaine. Tout ce qui touche aux sous et à leur gestion.




Voilà pour les ateliers, reste plus qu’à s’y mettre ?


Bon, après un petit café ?
(Mon chat continue de miauler, mais ça m’énerve moins…)


A.



On va quand même pas vous ériger un statut?

Bonjour les amis!

Il fait beau, on casse du mur et on repeint la salle de bains chez moi, mais sinon tout va bien!

De son côté, le capitaine continue son prospect d'informations, d'aides et de conseils pour monter sa future boîte.
Comme vous avez pu le remarquer j'y vais réellement petit à petit, sans forcément passer à des choses concrètes, mais je sens que les choses se précisent.
Aujourd'hui, réflexion et recherches d'informations sur les statuts.

Après un premier tour de table, voilà ce que j'ai pu recueillir comme informations:


1°) GENERALITES
Ce ne sera pas une entreprise individuelle.
Il faudra plutôt opter pour une SARL.

2°) DESCRIPTION DE LA SARL
- Le statut protège le patrimoine personnel (sauf grosses erreurs de gestions des dirigeants)
- Le statut s’adapte à toutes les situations
- Le montant du capital social est déterminé librement suivant les besoins. Les apports en espèce peuvent être libérés sur 5 ans avec un versement initial de 20% du montant.

ATTENTION :
Si on utilise les biens de la société à titre personnel, il s’agit d’abus de biens sociaux.



3°) FISCALITE
Au niveau fiscal, la société est imposée directement au titre de l’impôt sur les sociétés.
Le gérant majoritaire est rattaché au régime des indépendants.


4°) LES DEMARCHES
Les démarches à accomplir sont :
- Rédaction et enregistrement des indépendants auprès des services des impôts.
- Nomination du ou des dirigeants
- Parution d’une annonce dans un journal d’annonces légales


Voilà... Evidemment, ceci n'est que la synthèse de toutes les notes que j'ai pu prendre à ce sujet.
Et la plupart des points seront à explorer et à approfondir.

Mais voilà déjà une bonne idée globale de la forme juridique que devrait prendre la société.

Et pour terminer sur un point bloguesque voilà quelques mots clés pour les moteurs de recherche:
Brad Pitt nu, Tom Cruise nu, photos de Rihanna, Sim nu

Plus sérieusement:
création entreprise, société de production, production de films, films, production, producteur, produire un film, créer société de production, production de court métrage, boîte de prod

Voilà qui devrait booster le tout...

Biz et à plus tard
(C'est pour la petite bourgeoisie...)

mardi 21 avril 2009

La minute TV

Je profite d'une petite parenthèse (comment ça, personne n'a vu la parenthèse? Alors là vous êtes de mauvaise foi, jeune gens), pour vous parler d'une série que j'adore.

Et si j'ai envie de vous en parler c'est parce que:

1°) C'est mon Journal et je fais ce que je veux
2°) Je suis viens de m'acheter le coffret de la Saison 2.

Cette série c'est "How I Met Your Mother", que l'on ne traduira pas en français parce que c'est très bien comme ça.

Rassurez-vous, cher lecteur, je ne vais pas m'engager dans une analyse approfondie de la série et du phénomène engendrée.

Non, non, juste pour vous dire que j'adore et que si vous aussi vous adorez (ou détestez, vous avez le droit aussi), n'hésitez pas à me le faire savoir.









A.

Dis maman, c'est quoi un producteur?

Bon, pour expliquer ce qu’est un producteur (houlà), je vais essayer d’être bref et concis, et ça, ce n’est pas ma spécialité.

Déjà, il faut s’ôter de l’idée qu’un producteur est quelqu’un qui va mettre ses soussous (son PEL, son CODEVI ou autre) dans une enveloppe qui va servir à produire un film.
Non.
Ses soussous (son Livret A, son Compte Courant ou autres) va servir à monter son entreprise, les sous ensuite pour produire les films, il les trouve. Bien sûr, il en met aussi de sa poche, mais sa part n’est pas totale, et ensuite ces sous sont souvent des retours sur investissement.

Bref, un producteur est avant tout le type qui va mettre en place un projet, une équipe, s’assurer que tout le monde travaille dans le même sens, contrôler son budget pour au final sortir un film. Et ça, c’est dans le cas d’un film dit long métrage. Il existe plusieurs subtilités, suivant que l’on fasse du court métrage, de la publicité, de l’institutionnel, du porno, etc.

Ainsi, ce billet, je l’espère, permet déjà d’enlever une idée qui m’énerve : non, il ne faut pas être riche pour être producteur. Par contre, il faut être débrouillard. Savoir où chercher les investisseurs (les régions, les fonds d’aides, les chaînes de télé, les mécènes, le LOTO, etc.) et savoir vendre une idée (qu’il aura fallu d’abord dénicher voir trouver soi-même…heu non pas voler par contre hein, ça ce n’est pas bien !).

Ainsi le producteur doit jouer sur tous les fronts, mais il doit avoir avant tout un talent de fédérateur. Car au bout du compte, il rassemble tout un petit monde autour de son projet et il doit s’assurer que ce petit monde ne va pas tout faire foirer.

Je me dis en passant, que ce Journal va aussi permettre de vous éclairer pas mal sur les nombreux métiers du cinéma ou en tout cas de l’audiovisuel. Car, même si on a l’impression de tout connaître sur tout, grâce à lnternet, aux making-of et tout ça, il reste encore pas mal de zones d’ombres de quiproquos qui sont, je dois le dire, assez énervants.
Mais comme le disait je ne sais plus qui, à nous, gens du cinéma, de faire comprendre au peuple ce que sont nos métiers. Sinon qui le fera ?

J'espère en tout cas que par cette petite note que j'ai essayée de faire concise, vous aurez eu une meilleure idée de ce qu'est réellement un producteur. Maintenant attention, le métier est beaucoup plus complexe et sujet à d'intenses ramifications que ce simple schéma exposé aujourd'hui...

A bientôt pour de nouvelles aventures !
(Mon chat n’arrête pas de miauler et c’est énervant !)

A.

vendredi 17 avril 2009

Qu'est-ce que c'est que ce Journal de Bord?

Ecrire ce Journal de Bord et que je publie sur le net (rhaaa encore des histoires de publication, y’en a marre ! Je reviendrais sur mes déboires de publication plus tard…), c'est avant tout pour pouvoir me « driver » comme on dit dans le métier (quel métier, ça je n’en sais rien mais bon…)

Le fait est que j’ai besoin de m’organiser dans une sorte d’étapes par étapes pour avoir l’impression :
1°) d’avancer et de travailler
2°) d’aller dans la (les) bonne(s) direction(s)
3°) il n’y a pas de 3°)

Et puis partager cette expérience, permet de recueillir des réactions, de voir si c’est plutôt positif ou négatif et puis qui sait, au hasard de quelques rencontres, avoir un ou deux conseils qui peuvent toujours aider et faire avancer le schmil…shimili…le smilili… bref d’avancer quoi…

Je vais essayer de faire le maximum de billets, non seulement pour tenir au courant la population qui – je n’en doute pas – est très impatiente de connaître mes périples, mais aussi, et surtout, en plus des points susse cités et nonobstant de la qualité intrinsèque inhérente à toute activité bloguesque lié par le fait que…quoi ? Attendez là, je ne sais plus où j’en suis.

Bref, écrire ce Journal de Bord me permettra aussi de valider chaque étape importante de ma création.

Salut les loulous !
(Yeap !)
A.

jeudi 16 avril 2009

Je veux produire... Des fraises? Des voitures? Non, non, mieux...

Bon finalement la redéco attendra, donc je peux enchaîner sur mes péripéties.

Si j’ai choisi de monter une société de production audiovisuelle, c’est pour plusieurs raisons, vous vous en doutez.

La première est que j’ai toujours voulu avoir des responsabilités, même si j’ai toujours eu peur d’en avoir. C’est un peu ça mon « problème », ou disons mon faux problème, j’ai peur de sauter le pas jusqu’au jour où je le fais et où je découvre que je le fais très bien. C’est vrai. Lors de ma 2nde année d’étude, j’étais convaincu que je ne pourrais jamais être 1er assistant réalisateur, jusqu’à ce qu’on me pousse limite à le faire sur un projet et que je découvre que j’étais très doué dans la matière (oui, oui, les fleurs ne sont pas chères aujourd’hui).
Même topo pour assistant producteur. En 3 ans, j’ai d’ailleurs acquis un peu d’expérience dans ce domaine là, et le travail que j’ai pu avoir avec des réalisateurs de renommée internationale (non non, je déconne pas) ont été une pierre supplémentaire dans mon édifice à moi, que je me construis pour mon future métier de producteur.

Donc, tout ça pour dire que désormais les responsabilités de chef d’entreprises et de producteur ne me font pas peur.

Quant à la production en elle-même, je suis un féru de cinéma (ce qui ne suffit pas, bien évidemment) et on fait souvent appel à moi pour des jugements et des analyses sur des scénarios, des films, voir même des idées. Ce qui me fait dire que quelques parts, j’ai un œil pour cet art.

Mais je suis conscient des grosses difficultés de ce métier. Tout d’abord n’est pas producteur qui veut et il faut surtout fuir les gros stéréotypes du genre type bedonnant derrière son bureau en marbre, fumant un gros cigare et négociant des hôtels de luxe pour loger ses acteurs hyper stars.
Producteur c’est dur, car il y a peu d’argent (encore plus vrai par les temps qui courent) et que le moindre « bide », le moindre échec est souvent fatal.

Bref, le chemin va être dur, long mais je me sens d’attaque, les épaules solides et puis, j’ai presque envie de dire, que je n’ai rien à perdre !

Salut les loustiques !
(Je vous salue bien bas !)

A.

mercredi 15 avril 2009

Lancement du Journal de Bord

Début du mois d'Avril 2009 et, officiellement, en ce Mercredi 15, je peux dire qu'il s'agit du 1er jour de ma nouvelle vie.

Bien entendu, tant que l'on n'a pas vécu la situation, on ne peut réellement comprendre en quoi le fait simple de "changer" de travail constitue une nouvelle vie, sauf si l'on décide de se reconvertir, ou de partir vivre à l'autre bout de la planète.

Non, nouvelle vie, tout simplement parce que pour la première fois, comme je l'ai si souvent répété à ma compagne, j'ai l'impression d'avoir un certain contrôle de ma vie.

Il faut dire que professionnellement parlant (on n'abordera pas le financièrement parlant) cela a toujours été assez "simple" pour moi.

Après être sortir de mes études au sein de l'ESRA, j'ai dû chercher un stage pour clôturer mon année. C'est dans une branche de l'audiovisuel dont je ne connaissais pas grand-chose que je l'ai trouvé: la production. Après six mois de stage, l'assistant producteur (donc la personne au-dessus de moi) est parti, et une place s'était donc libérée. J'ai eu le privilège que l'on me propose ce poste, et je n'ai même pas eu à dire oui ou non, cela paraissait tellement acquis par mes patrons que je n’aie fait que suivre le flot.

Presque 3 ans plus tard, je fus arrivé cependant à une telle impasse, que je ne pouvais continuer comme ça, au risque de vouloir, au final, me tirer une balle dans la tête.

Ce changement de travail, ou en tout cas, ce départ presque précipité, a eu lieu en Août 2008. Seulement voilà, après les grandes phrases, les espoirs et la volonté de percer, presque un an se sont écoulé et le bilan n’est pas très positif. Non seulement je ne travaille plus dans mon milieu (pour pouvoir vivre, payer les factures et faire semblant de gagner de l’argent, je suis vendeur dans une célèbre enseigne qui est apparemment un agitateur de curiosité) et tous mes projets personnels sont au point mort. Point de publication de livre, point de tournages en prévision, bref rien !

Alors voilà, en ce début d'Avril 2009, j’ai décidé de partir dans de nouvelles voies (encore !), histoire de se recentrer ! Et cette fois encore, je peux honnêtement dire que je commence une nouvelle vie.

Une nouvelle vie qui va agrémenter, je l'espère, deux axes professionnels importants:

_ L'enchaînement des préparations et tournages, ou des projets sur lesquels je serais assistant producteur, assistant réalisateur ou chargé de post-production

_ La création de ma propre société de production.

C'est en rapport avec ce deuxième axe, que j'ouvre ce journal de bord, afin de suivre au jour le jour (ou la semaine à la semaine) mes réflexions et démarches afin de créer ma société.

Je prendrai pour base l'excellent blog de Jean-Hubert DENECHAUD qui, certes, travaille dans une filiale complètement différente de la mienne (l'immobilier) mais qui a construit un blog très fourni, expliquant et témoignant, étape par étape, de la création de son entreprise.

Evidemment, on pourrait se dire que ce n’est pas le meilleur exemple à suivre, vu que son entreprise a fermé il n’y a pas si longtemps que ça (Aïe !) mais au contraire je trouve beaucoup de points positifs à cela (lui sans doute moins…). Tout d’abord, au travers de son expérience, je saurais les erreurs à ne pas produire ou à éviter. Et puis son blog est tellement bien fait et constructif, que toute la partie administrative de la création d’une entreprise est une mine d’or.

Bref, me voilà (ou en tout cas on va essayer au plus haut point) dans la peau d'un futur entrepreneur.

Dans ce Journal de Bord, je vais dans un premier temps tenter de définir mon idée de ma future société et mes prochains axes de travail.

J'essaierai d'y écrire le plus souvent possible.

Mais pour l'heure, il est temps de clôturer cette petite introduction et d'aller aider ma chère et tendre à redécorrer l’appart ‘!


Bien le bonjour chez vous!
A.