mercredi 29 juillet 2009

Et le meilleur titre est?

Salut tout le monde.

La semaine commence tranquillement, après avoir eu un mois de Juillet mouvementé et peu productif. Il va falloir se remettre dans le bain rapidement quand même.

Mais avant ça, un point déjà soulevé précedemment et qui ne demande ni investissement (pour le moment tout du moins), ni talent (encore que…), ni travail (moui enfin bon…) : la recherche du nom.

Pour le moment j’en ai plusieurs en tête, et je ne veux pas m’arrêter sur un nom car je veux en avoir quelques un dans ma hotte, une fois que mon futur associé sera sur la lancée de la création avec moi. En effet, je pense qu’il faut qu’il ait son mot à dire aussi.

Pour souvenir, j’avais déjà parlé de ma recherche de nom dans ma note du 25 Mai.

Après mûres réflexions, je reste sur deux noms diamétralement opposés mais qui peuvent marcher.

L'un évoque un peu le mystère (houuuuuuuuu....)
L'autre contient le mot Production (ce qui est déjà bien...)

En gros, il ne faut pas que le nom soit trop long, avec trop de particules, et il ne faut pas qu’il soit noyé au milieu d’une fournée d’autres noms similaires dans les recherches Google.

Malgré tout cela, ces deux noms ne me conviennent pas à 100%. Je vais devoir me pencher à nouveau vers des noms similaires mais qui aurait peut-être un peu plus rapport avec moi…

A voir…


Bisous et à tout à l’heure, hein !
(En direct du tapis rouge de Là-Haut)

A.

mardi 7 juillet 2009

C'est quoi l'affaire?

Salut tout le monde.



Aujourd’hui on va parler de pas mal de choses (ha ba ça c’est précis comme intro.)

Comme dit dans mon précédent billet, I am Back dans les affaires. Alors j’ai repris tous les dossiers en suspend et je les ai dépoussiérés pour voir où j’en étais. Dans l’absolu (expression qui ne veut rien dire), ça donne ça :


- Mise à jour de quelques informations sur le blog.

- Prise de renseignements sur les statuts et les étapes importantes de la création d’entreprise.
Plus particulièrement, je me suis penché sur ce qu’est une SARL et la chose importante que j’en ai tirée c’est qu’il faut être au moins 2 à investir dans la boîte. Ce qui confirme ma volonté de demander à mon futur associé de s’atteler à cette lourde tâche avec moi. Mais le bougre est difficilement joignable en ce moment…


Quelques notes gribouillées pendant une heure sur une idée de long ou de roman, je ne sais pas encore. Allez, je ne vous fais pas saliver plus longtemps, je vous donne le titre : L’AFFAIRE SULLIVAN… Wouahou, ça impressionne, mieux que le dernier Guillaume MUSSO ! Et oui je sais, ça claque.

Plus sérieusement, je compte prendre un paquet de notes sur les personnages, le genre (fantastique), l’intrigue, les thèmes, avant de me lancer dans l’écriture.

Voilà en gros pour l’instant. Prochaine étape : on reparlera du nom de la boîte, vaste sujet en conséquence (ça aussi c’est une phrase qui ne veut rien dire du tout ! Rassurant pour un type qui se dit auteur et écrivain !!!).


Bye Amigo
(Perdu en ce moment, sur une île, avec des types louches…)

vendredi 5 juin 2009

Hého, y'a quelqu'un?

Ben oui, après tant d’absence, on se demande si ce n’est pas encore un projet mort né que tout cela !


Non, ne vous inquiétez pas, Hugo Project est toujours d’actualité mais je me suis senti obligé de faire un petit break de quelques jours pour prendre du recul.

En fait, le recul je ne l’ai pas réellement pris sur la création de la boîte, mais plutôt sur mes projets artistiques. Comme je l’ai dit dans un précédent billet, j’ai écris un roman et je l’ai envoyé à plusieurs maisons d’éditions. Après plusieurs réponses négatives, j’en ai reçu une qui m’a fait beaucoup réfléchir. La réponse venait de Monsieur Plon qui a pris la peine, contrairement à ses petits camarades de Flammarion, Cherche-Midi et Albin Michel, de me faire une lettre de refus personnalisée (refus mais sympa quand même). Cette lettre m’expliquait dans les grandes lignes ce qui n’allait pas dans mon roman et la raison de son refus. Bonne nouvelle : l’idée est très intéressante et originale. Deuxième bonne nouvelle : à aucun moment on ne me dit que c’est mal écrit, que c’est un papier-cul digne des plus grands moments d’inspiration de Loana ! Ouf… Non le principal problème, et je m’étais souvent posé la question en l’écrivant, vient de la structure. Aïe ! Toujours cette histoire de structure, BABA du scénario mais aussi du livre, évidemment.

Mon break vient du fait qu’en voulant m’atteler à la lourde et longue tâche de réécriture de mon roman, je me suis soudain retrouvé démuni, seul (comme peuvent l’être les écrivains), perdu devant mon ordi et cet ouvrage qui semblait ne plus être le mien. La panne…Classique quoi ! Alors plutôt que de me ronger le sang, de me faire des nœuds dans la tête, j’ai préféré mettre tout ça de côté et de ne faire, pendant deux semaines, que des choses qui n’ont aucun rapport avec mes projets actuels. Pas d’écriture, pas de démarches pour créer une boîte, rien. Des sortes de vacances, mais tout en continuant à bosser dans mon job alimentaire.

Du coup j’ai entamé un programme de remise en forme pour pouvoir enchaîner dans un mois avec un programme de seize semaines d’entraînement au marathon (j’en voie qui rit au fond de la salle, ce n’est pas sympa, vraiment), j’ai joué à des jeux sans intérêt comme Sim City 4 (Wouahou, ma ville elle est trop grande, je suis trop doué, super !!!!) et fait des parties de poker où je n’ai absolument rien gagné !

Bref, maintenant, me revoilà, frais et motivé, pour continuer le projet HUGO et avec plein d’idées artistiques en tête. Quant à mon roman, je le mets toujours en stand-by, ne me sentant pas capable d’entreprendre, à l’heure actuelle, les grands travaux…

Mais peut-être que ça aussi ça va changer !


A la prochaine réunion
(T’es au courant que j’en suis à ma 3ème réunion ? La classe quoi !)

dimanche 31 mai 2009

A quelle heure vous avez dit déjà pour la réunion?

Cet après-midi est un grand jour (ou plutôt une grande après-midi), je vais organiser ma première réunion avec moi-même.


Autant dire un moment crucial dans la vie de xxxxx (et bien oui, je n’ai toujours pas validé mon nom). Les intervenants risquent d’être nombreux !

En fait, il va s’agir d’une pré-réunion avec moi-même. L’avantage c’est qu’il n’y aura que moi, donc pas la peine de faire un tour de table pour faire les présentations, on évite le quart d’heure de discussion habituel sur « Et toi comment ça va ? », « Les femmes ? Les enfants ? », « Au fait, t’as vu je me suis acheté un nouveau break ? », « C’est moi où tu es encore plus vilain que la dernière fois »…

Bref. Je vais dresser un ordre du jour pour que je puisse être fonctionnel et efficace. Le principal but de cette réunion sera surtout de définir les grands points et les grandes références de mon futur site web. C’est un sujet qui me tient particulièrement à cœur et que je veux prendre en amont, pour en avoir moins sur les épaules en termes de travail, une fois toute la partie financière etc. lancée.

Je vous tiendrais bien évidemment au courant de ce qu’il en est sorti, avec un débrief de ma réunion !


On se retrouve après pour une clope ?
(Je prends mon café et j’arrive !)

vendredi 29 mai 2009

Vous avez un nom?

Après une bonne mais à mon sens trop courte nuit de sommeil (il faut que j’arrête de me coucher à 2 heures du matin), me revoilà d’aplomb pour de nouvelles aventures, comme promis.


Aujourd’hui est une bonne journée, car j’ai une bonne partie de la matinée pour moi, ne travaillant dans mon enseigne que l’après-midi. D’ailleurs soit dit en passant, je commence réellement à en avoir marre de travailler là-bas, et quand ça commence comme ça la totale démotivation n’est pas très loin. Cf. mon ancien travail.

Quand je vous ai parlé de mon week-end la dernière fois, j’ai oublié de vous préciser qu’en plus de ne rien faire et de boire des coups avec mon meilleur ami, j’ai aussi (un peu) travaillé. Haaaa ! Disons que j’ai surtout écris. Un nouveau court-métrage en prévision. Mais là aussi, nous y reviendrons plus tard.

En attendant, juste une petite note pour revenir sur les noms que j’avais listés la dernière fois. En repensant à ma future association, je me suis dit qu’il serait plus judicieux de décider du nom avec cette personne, même si je pouvais lui soumettre quelques-unes de mes propositions. Et puis l’avantage d’être à deux, c’est qu’on a deux fois plus d’idées ! Normalement…

En attendant, et comme ce n’est toujours pas la priorité de ces prochains jours, j’ai élagué un peu mon ancienne liste pour ne garder qu’un Top 2, donc j’ai vérifié les disponibilités et qui sont toutes libres !


Et quand est-ce qu’on se revoie ?
(Y’a pas de mal à se faire du bien !)

A.

mardi 26 mai 2009

Ca t'intéresse?

Holà les enfants, j’espère que vous avez passé un bon lundi !


Je me bat depuis une heure avec mon ordinateur qui, depuis de nombreuses semaines commencent sérieusement à déconner : imprimante en panne, coupure de son, plus d’accès à mon Poste de Travail, lenteur de connexions, plus de wi-fi… Bref, autant le dire, je le sens en fin de vie… Et comme les finances ne sont pas forcément au beau fixe, son remplacement n’est pas pour tout de suite. Damned !

En plus, j’ai l’oreille gauche complètement bouché ce qui procure deux désavantages majeures :
1°) J’ai l’impression d’évoluer dans un caisson étanche.
2°) Je n’entends rien et je parle fort comme les petits vieux que je sers tous les jours.

Entre temps, j’ai quand même passé un bon week-end, et dimanche dernier, j’ai même pique-niqué avec mon meilleur ami, le Capitaine J. Nous avions, de ci de là, discuter déjà de l’éventualité de monter une boîte ensemble. Mais comme nous avions encore notre voie « à trouver », n’est-ce-pas, et que nous ne nous sentions pas forcément prêts à sauter le pas, c’était rester sans suite.

J’espérais, je dois vous l’avouer, un peu plus de cette rencontre, où je comptais exposer mon projet et voir si cela pouvait aboutir sur une future collaboration. Mais ce ne sont sûrement pas les endroits idéaux pour parler de cela ou en tout cas pour que la société démarre sur des bases saines.

Je compte refaire une après-midi soft, autour d’un café, de quelques projets et d’une discussion sérieuse à ce sujet.

Au passage, la création de ma société a été évoquée par ma chère et tendre et moi-même, ce week-end même. Elle savait, évidemment, depuis très longtemps que je souhaitais me lancer dans ce vaste projet, cependant, la conjoncture et nos vies professionnelles ayant un peu divergées de ce que nous avions prévu/idéalisé, jamais je n’avais à nouveau évoqué le sujet.

Je dois dire que j’appréhendais un peu le fait de devoir lui annoncer que je relançais la machine. Elle-même a monté sa propre entreprise qui n’est pas forcément au beau fixe par les temps qui courent et je ne pensais pas qu’elle allait voir d’un bon œil ma volonté de m’embarquer également dans « cette galère » ! ;)

En fait, le sujet est venu tout naturellement, et c’est elle-même qui m’a posé la question : « Où en es-tu de ton projet de boîte ? » Me demande-t-elle, l’ingénue ! :)

Voilà qui fait plaisir… Elle a annoncé tout son soutien et qu’elle serait derrière moi à chaque étape, pour me soutenir, m’encourager et croire en moi. Voilà qui fait plaisir…

Donc si l’entrevue avec mon futur associé n’a rien donné pour le moment, celle avec ma chérie a été plus que concluante !


Suite au prochain numéro
(La différence c’est le silence)

A.

lundi 25 mai 2009

Quel est votre nom?

Petite douceur avant les grands plongeons.


Un peu comme quand on se lance dans l’écriture d’un scénario ou d’un livre, au début, on passe plus de temps à faire la mise en page ou à chercher le titre que de réellement l’écrire.

C’est sans doute pour palier à la peur de la page blanche ou pour ne pas se confronter réellement au long et douloureux processus de la création.

J’ai l’impression que pour la création d’une boîte, c’est à peu près pareil. En tout cas, pour le moment, je n’ai rien fait de concret. J’ai posé noir sur blanc les bases, les fondations mais pas encore d’actions concrètes qui pourraient faire dire à mon entourage : « Il est en train de monter sa boîte. ».

Peu importe, car j’ai décidé de continuer dans cette voie là, aujourd’hui et de m’octroyer une petite douceur. Je vais chercher le nom de ma future boîte.

En fait, plus clairement, je me suis déjà fait un brainstorming (sans les chips ni les verres de vins) duquel j'ai fait une liste d'une dizaine de noms potentiels.

Ouf…Cela me semble déjà une bonne liste. La plupart des noms peuvent sembler ridicules (qui a dit oui oui ?) mais comme dans tout brainstorming, il faut tout prendre pour pouvoir ensuite élaguer.

Je vais méditer sur ces propositions et déjà voir si certaines sont déjà prises.

De toutes manières, le choix du nom n’est pas l’urgence du moment, donc j’aurais le temps d’y revenir.



A +
(Hey hey !)

A.


P.S. : Petite mise à jour après une rapide première recherche sur le site de l’INPI.

Si la plupart de mes noms ne sont pas déjà donnés, je me suis rendu compte que deux de ceux-là pouvaient déjà être éliminés : L. Production et L. Films. En effet, rien qu’en tapant ces deux noms, je suis tombé sur une sélection d’une centaine de sociétés!

Et ce n’est pas illogique, au contraire. Car les moteurs de recherche prennent en compte le nom entier (par exemple Films ou Production) puis si dans le nom des sociétés il y a la lettre L (donc même un nom comme Lecul Films, par exemple, serait pris en compte dans la recherche). Le meilleur moyen donc, pour une petite société naissante, de passer totalement inaperçu dès qu’on entrerait son nom dans Google !

Clever !

Sinon, est un des premiers noms auquel j'avais pensé est déjà pris pour une société du même type. Cela ne m’a pas étonné, c’est assez passe-partout (donc pas forcément un bon nom). Et même si je filoutais un peu en changeant la casse ou en ne mettant pas d'espace (c'est un nom à plusieurs particules), je ne suis pas convaincu par l’impact qu’aurait un tel nom.

Un premier brainstorming comme ça pour le fun et déjà des pistes qui s’écartent.

Bon point !

vendredi 22 mai 2009

Est-ce dans les vieux pots que l’on fait les soupes Liebig ?

Une petite note maligne.


Voilà c’est tout… Ha non, désolé, j’ai quelque chose à dire encore. Comme dit précédemment (expression dont j’use et abuse je trouve), j’ai travaillé quelques années dans une société de production.

Cela m’a permis d’acquérir de l’expérience, bien évidemment, mais surtout j’ai pu apprendre et récupérer pas mal de documents « classiques » dont je vais me servir de base pour créer mes propres documents à l’effigie de ma future société.

Des documents aussi divers que variés que les devis, les factures, les feuilles de route, les plans de travail ou encore des dossiers de présentation.

Une chose de moins à faire. Ce n’était pas la plus dure mais c’est au moins ça.


A plus tard.
(Avez-vous besoin d’un appareil dentaire ?)

mardi 19 mai 2009

Et le dernier atelier alors?

Ca tombe bien, dans ma précédente note, je parlais de mon futur salaire mirobolant et des nombreuses allocations que je l’allais toucher.


Et bien vous l’aurez compris (parce que vous êtes intelligents), il est temps de parler du dernier atelier, l’atelier financier.

Voilà sans doute la partie charnière de tout mon processus de création d’entreprise, parce que l’argent reste le nerf de la guerre. Il faut prévoir les coûts, il faut prévoir les budgets et donc, quelques parts, prévoir les possibles futurs rentrées d’argent potentiel au cas où la vie ne serait pas si dure que ça…

C’est aussi le point où je me sens le moins à l’aise, n’ayant jamais été très doué avec les chiffres. D’ailleurs ce questionnement fait partie de l’une de mes étapes que je vous décris ci-dessous.

- Business Plan
Etape presque désormais obligatoire pour monter son entreprise. Faire un business plan c’est chiffrer toutes les décisions et les volontés décrites dans les ateliers précédemment cités, c’est rassurer les investisseurs (clients, banques, organismes accompagnateurs, …) sur la sérénité de votre projet, sur votre conscience du marché et surtout sur le fait que la boîte ne risque pas de crouler sous un découvert de 800.000 Euros au bout de deux mois d’activité ! (Bien que ça soit possible, hein, j’en ai connu…)

- Compta
Là, il faudra faire appel à une tierce personne. Tout d’abord parce que je ne me sens pas capable de gérer cela tout seul et surtout parce que je ne souhaite pas perdre du temps là-dessus.
Cet aspect peut directement être lié avec une réflexion que j’ai eue dans un atelier précédent, qui est de m’associer à quelqu’un. J’y reviendrais plus tard, car j’ai déjà ma petite idée (et la personne aussi) sur à qui je pourrais proposer cela. Cependant, cette personne-là n’est pas non plus très douée en gestion de comptabilité d’où une réflexion que j’ai eue également (décidemment, je réfléchis beaucoup) pour inclure une troisième personne : salarié, associé, stagiaire ? A plein temps, à temps partiel, intérim, société de gestion ? Bref, gros point à travailler.

- Gestion
Hop transition par rapport à la dernière phrase de la précédente étape. Qui dit compta, dit gestion et là pareil, il va falloir réfléchir à comment s’organiser logistiquement et financièrement : banque ? Comptable ? Logiciels ? Outils ? Comptes, épargne, etc. ?

Là aussi, il s’agira d’un intense travail et puis surtout de s’assurer de ne pas faire de faux pas. J’ai connu des entreprises en difficulté à cause de cela, donc soyons attentif…

Ouf, les quatre ateliers sont bouclés, reste plus qu’à s’y mettre.

Bref, plus de blabla et de l’action.



Previously on A.
(Qu’est-ce qui se passe ?)

A.

lundi 18 mai 2009

Quelles sont vos prétentions salariales?

Ouais je vais gagner plein d’argent ! Ouais je vais être super riche ! Ouais j’aurais ma photo sur la couverture du prochain FORBES !


Moui… Je ne suis pas assez naïf pour me laisser avoir par ce type de réflexion. En effet, j’ai bien conscience qu’une fois lancé dans la course à la création d’entreprise, ma situation financière personnelle ne risque pas d’être folichonne. Quant au salaire que je toucherais je dirais que ce n’est même pas à l’ordre du jour…

Mais une des questions importantes à se poser est la question de l’emploi. Comme je vous l’ai dit précédemment, je suis actuellement vendeur dans une grande enseigne. Contrat plein temps en CDI.

Plusieurs questions se posent à moi :
- Quand dois-je quitter mon emploi ? Au début de la gestation du projet (ce qui voudrait dire maintenant)? Lors de l’immatriculation de l’entreprise ? Lorsque le premier gros projet (donc rentrée d’argent) tombera ?
- Comment quitter mon emploi ? Démission ? Licenciement (en me disant que cette option est quasi impossible dans ce genre d’enseigne) ? Congé sabbatique ?
- Comment avoir des droits comme les allocations chômage ? Vu que je n’aurais pas de salaire, il faut bien que j’ai une certaine rentrée d’argent qui vienne de quelques parts pour pouvoir vivre dans les premiers mois, non ?

Pour certaines de ces questions, j’ai déjà quelques éléments de réponse, peu positifs, je dois vous l’avouer. Mais tout cela reste encore assez flou. Alors si vous avez des idées, des réponses, des solutions, alors je suis preneur !

Sur ce…
(J’ai la flemme de bosser aujourd’hui)

A.

mercredi 13 mai 2009

Y'à quoi au menu d'aujourd'hui? L'Organisation? Moui, pourquoi pas...

Hé hé, devinez qui voilà ?


Je m’empiffre de gâteaux et je vais piller toute ma réserve, je vous dis pas bravo !

Bon alors après le peu de succès de mon atelier coloriage, et ayant bien vu que vous étiez intéressé par des ateliers beaucoup plus décousus et moins intéressants à mon goût, je vous ai concocté un petit troisième atelier consacré à l’organisation.

Un atelier qui va surtout être dans la ligne droite du précédent consacré au marketing. En effet, après avoir étudié ce que je veux faire et comment je veux le faire, il sera grand temps de réfléchir et de définir les outils qui vont me permettre de pérenniser ma boîte.

Voici donc les étapes de cet atelier :

- Définir les clients que je veux toucher.
Des clients il y en a plein, c’est un peu comme à la pêche. Il y a des requins, des très gros poissons et du petit gardon. Quand on commence la pêche, et que l’on a pas forcément une grosse canne (j’en vois sourire au fond de la classe, vous ne pensez qu’à ça bande de petits polissons.), il faut viser juste et vouloir d’abord pêcher beaucoup de petits gardons plutôt que de s’attaquer aux requins.

- Comment les faire venir ?
Dans la même veine et avec la même métaphore, une fois définit le poisson voulu, il faut réfléchir aux appâts que l’on va utiliser.

- Le matériel
Pour la troisième fois consécutive, on retrouve l’image de la pêche. Le poisson et les appâts définis, il s’agira de s’équiper aussi bien matériellement qu’au niveau de la paperasse et de tout le décorum qui accompagnera du début jusque la fin un projet.

- De l’expérience
Une étape importante qui n’est pour le moment qu’à l’état de réflexion. Mais il me semble presque évident que je ne pourrais parvenir seul à faire vivre cette entreprise et à la rendre performante. Il va falloir que je réfléchisse à qui je pourrais proposer de m’épauler et voir s’il n’existe pas un ou deux moyens d’acquérir de nouvelles connaissances (rencontres, formations, cours, livres, etc.)

Ha voilà, tout cela semble se définir de plus en plus clairement. En tout cas sur le papier.

Je suis impatient de voir ce que va donner la suite.


Bizou et à plus tard.
(Ecoute du Gorillaz et ça c’est pas tout jeune non plus)

mardi 12 mai 2009

Des fans pour l'atelier coloriage?

Me revoilou!


Après quelques jours d'abscence où j'en ai profité pour faire le plein d'énergie et me reposer un petit peu (entre quelques parties de poker, un programme de remise en forme car je vise à participer au marathon de Paris l'année prochaine, et mon travail de vendeur), reprenons les commandes du navire HUGO PROJECT.

Alors après avoir parlé de l’atelier administratif, qui qui veut parler de l’atelier coloriage ? Personne, bon alors on va parler de l’atelier commercial / marketing, mais regrettez parce que l’atelier coloriage c’était vraiment fun…

Même topo, voici le gros des étapes que constituera cet atelier :

- La ligne éditoriale
Ce que j’appelle à non juste titre la ligne éditoriale, c’est en gros la future politique de ma boîte. Quels services vais-je proposer ? A qui ? Pour quels types de projets ? Avec quelles conséquences ? Et puis la question du budget aussi, comment vont se définir les marges et les frais généraux, les imprévus (si, par définition, on peut les définir).
En gros, je vais devoir mettre noir sur blanc ce que va faire mon entreprise, comment elle va le faire, avec quel argent et pour quel rendement ? (Axe qui se rapprochera aussi de l’aspect finance, bien évidemment).

- Les médias
Qui dit société de production, dit média. Mais là, j’entends média dans le sens, outils que je vais avoir à disposition pour mettre en avant la société.

Je vois trois grands points :
Le site Internet : novateur sans être « trop » (pour une question évidente de coût), quelque chose de percutant et d’iconoclaste, qui se démarque grandement de tout ce qui se propose actuellement sur la toile.
Les sites communautaires : style Facebook, Myspace, etc. Bons vecteurs mais pas forcément pour les cibles recherchées.
La comm’ : terme à mes oreilles péjoratif qui englobe sous cette raillerie, les différentes actions que je pourrais entreprendre pour faire parler de mon entreprise autrement.

- Référencement :
Dernière étape de l’atelier qui consistera à réfléchir aux meilleurs référencements possibles, Internet et papier confondus.

Un atelier tout aussi intéressant que le Réglementaire mais beaucoup plus créatif, cela va sans dire.


A une prochaine fois sur Facebook
(Tout ça pour ça…)

mercredi 29 avril 2009

Vous avez dit quel formulaire?

Hello les amis.

Fin de ma saison 2 de HIMYM (How I Met Your Mother pour les ignares et pour ceux qui n'ont pas lu ce billet). Snif... Qu'est-ce que je vais regarder moi? Bon je sais, il y a la saison 3 en DVD (oui moi je regarde les séries en DVD et non pas en piraté... Car piraté un film c'est du vol comme le dit le petit film avec la super musique rock au début de chaque film). Bref, là n’est pas le sujet.


Dernièrement j’ai développé les quatre ateliers sur lesquels je vais bosser pour faire avancer la création de ma boîte.


Avant de pousser plus avant les investigations, un peu comme Horacio et ses Ray Ban dans Les Experts, faisons un point (ou une virgule, vous choisissez hein, je suis pas difficile) sur les différentes principales étapes qui seront à remplir dans l'atelier Administratif.

- Trouver un nom.
Et plus important que de trouver un nom, s’assurer qu’il n’est pas déjà pris et le déposer officiellement. La classe, quoi !


- Choisir le statut de la société.
Là, gros dossier. Ce sera autre chose que trouver des noms, tâche que l’on pourra accomplir comme tout bon brainstorming de ce genre, entre deux trois potes bourrés, autour de chips et de verres de vin, dans un bar miteux de la capitale.
Non, là il s’agira de réellement définir la base officielle sur laquelle reposera la société et donc qui décidera de sa future organisation et législation.
Ok, vous l’avez compris, gros dossier.


- Dans le même genre, il faudra ensuite s’occuper de l’immatriculation de la société.
Là, ma tendre et chère pourra sans doute m’aider, elle-même ayant monté une boîte de services à la personne.
Rien à voir avec ma branche me direz-vous, mais les démarches d’immatriculation sont à peu près les mêmes (je dis bien à peu près).


- Enfin, quand tout cela sera terminé, un petit café et un croissant.



Evidemment, cet atelier est sans doute l’un des plus importants avec celui des Finances, concernant tout ce qui va être bases législatives et statut officiel de la boîte. Car malgré toute la bonne volonté et les bonnes idées, si les côtés juridiques et administratifs ne sont pas clairs et sains, alors c’est toute l’organisation et la vie même de la boîte qui peut vaciller.


L’expérience dans mon ancienne boîte l’a prouvée.


Voilà les enfants, je crois que j’ai fait un tour assez intéressant de cet atelier. Evidemment, je pense que pas mal de points auront besoin d’être développés voir divisés en sous catégories.


De la même façon, d’autres points et d’autres étapes risquent de s’ajouter à cet atelier au fur et à mesure de mes pérégrinations.

Et je vous dis à tout à l’heure.
(Politique zéro cadeau, 100% blabla)



jeudi 23 avril 2009

Vous êtes inscrit à quel atelier?

Et oui comme à l’école ou dans le gouvernement, pour pouvoir avancer concrètement et de manière efficace, il faut que je m’organise en atelier.

Et là, comme je vous l’avais dit récemment, j’en appelle à l’excellent blog de Jean-Hubert DENECHAUD qui appelle cela des Axes de Travail.


Dans un précédent billet, je vous avais dit que voler des idées ce n’est pas bien et bien non, ce n’est pas bien, mais là je ne vole pas, je m’en inspire... Hum...

En tout cas, et même si ce n'est pas joli joli (mais rigolo rigolo), je vais reprendre mot pour mot les 4 ateliers qu’il a décryptés. Leur contenu sera évidemment différent.



1. ADMINISTRATIF / REGLEMENTAIRE
Les démarches administratives, obligatoires.
 2. COMMERCIAL / MARKETING
Il s’agira de décrire et de décrypter mes axes stratégiques de travail, de voir comment dénicher des projets, les mettre sur pied et tout faire pour qu’ils rapportent quelques peccadilles.
3. ORGANISATION / OPERATIONS
Atelier qui touche à la vie même de ma future entreprise. Organisation, règles à mettre en place et procédures de travail pour que tout roule une fois que la société sera lancée.
4. FINANCES
Mon atelier préféré vu que je suis une bille dans ce domaine. Tout ce qui touche aux sous et à leur gestion.




Voilà pour les ateliers, reste plus qu’à s’y mettre ?


Bon, après un petit café ?
(Mon chat continue de miauler, mais ça m’énerve moins…)


A.



On va quand même pas vous ériger un statut?

Bonjour les amis!

Il fait beau, on casse du mur et on repeint la salle de bains chez moi, mais sinon tout va bien!

De son côté, le capitaine continue son prospect d'informations, d'aides et de conseils pour monter sa future boîte.
Comme vous avez pu le remarquer j'y vais réellement petit à petit, sans forcément passer à des choses concrètes, mais je sens que les choses se précisent.
Aujourd'hui, réflexion et recherches d'informations sur les statuts.

Après un premier tour de table, voilà ce que j'ai pu recueillir comme informations:


1°) GENERALITES
Ce ne sera pas une entreprise individuelle.
Il faudra plutôt opter pour une SARL.

2°) DESCRIPTION DE LA SARL
- Le statut protège le patrimoine personnel (sauf grosses erreurs de gestions des dirigeants)
- Le statut s’adapte à toutes les situations
- Le montant du capital social est déterminé librement suivant les besoins. Les apports en espèce peuvent être libérés sur 5 ans avec un versement initial de 20% du montant.

ATTENTION :
Si on utilise les biens de la société à titre personnel, il s’agit d’abus de biens sociaux.



3°) FISCALITE
Au niveau fiscal, la société est imposée directement au titre de l’impôt sur les sociétés.
Le gérant majoritaire est rattaché au régime des indépendants.


4°) LES DEMARCHES
Les démarches à accomplir sont :
- Rédaction et enregistrement des indépendants auprès des services des impôts.
- Nomination du ou des dirigeants
- Parution d’une annonce dans un journal d’annonces légales


Voilà... Evidemment, ceci n'est que la synthèse de toutes les notes que j'ai pu prendre à ce sujet.
Et la plupart des points seront à explorer et à approfondir.

Mais voilà déjà une bonne idée globale de la forme juridique que devrait prendre la société.

Et pour terminer sur un point bloguesque voilà quelques mots clés pour les moteurs de recherche:
Brad Pitt nu, Tom Cruise nu, photos de Rihanna, Sim nu

Plus sérieusement:
création entreprise, société de production, production de films, films, production, producteur, produire un film, créer société de production, production de court métrage, boîte de prod

Voilà qui devrait booster le tout...

Biz et à plus tard
(C'est pour la petite bourgeoisie...)

mardi 21 avril 2009

La minute TV

Je profite d'une petite parenthèse (comment ça, personne n'a vu la parenthèse? Alors là vous êtes de mauvaise foi, jeune gens), pour vous parler d'une série que j'adore.

Et si j'ai envie de vous en parler c'est parce que:

1°) C'est mon Journal et je fais ce que je veux
2°) Je suis viens de m'acheter le coffret de la Saison 2.

Cette série c'est "How I Met Your Mother", que l'on ne traduira pas en français parce que c'est très bien comme ça.

Rassurez-vous, cher lecteur, je ne vais pas m'engager dans une analyse approfondie de la série et du phénomène engendrée.

Non, non, juste pour vous dire que j'adore et que si vous aussi vous adorez (ou détestez, vous avez le droit aussi), n'hésitez pas à me le faire savoir.









A.

Dis maman, c'est quoi un producteur?

Bon, pour expliquer ce qu’est un producteur (houlà), je vais essayer d’être bref et concis, et ça, ce n’est pas ma spécialité.

Déjà, il faut s’ôter de l’idée qu’un producteur est quelqu’un qui va mettre ses soussous (son PEL, son CODEVI ou autre) dans une enveloppe qui va servir à produire un film.
Non.
Ses soussous (son Livret A, son Compte Courant ou autres) va servir à monter son entreprise, les sous ensuite pour produire les films, il les trouve. Bien sûr, il en met aussi de sa poche, mais sa part n’est pas totale, et ensuite ces sous sont souvent des retours sur investissement.

Bref, un producteur est avant tout le type qui va mettre en place un projet, une équipe, s’assurer que tout le monde travaille dans le même sens, contrôler son budget pour au final sortir un film. Et ça, c’est dans le cas d’un film dit long métrage. Il existe plusieurs subtilités, suivant que l’on fasse du court métrage, de la publicité, de l’institutionnel, du porno, etc.

Ainsi, ce billet, je l’espère, permet déjà d’enlever une idée qui m’énerve : non, il ne faut pas être riche pour être producteur. Par contre, il faut être débrouillard. Savoir où chercher les investisseurs (les régions, les fonds d’aides, les chaînes de télé, les mécènes, le LOTO, etc.) et savoir vendre une idée (qu’il aura fallu d’abord dénicher voir trouver soi-même…heu non pas voler par contre hein, ça ce n’est pas bien !).

Ainsi le producteur doit jouer sur tous les fronts, mais il doit avoir avant tout un talent de fédérateur. Car au bout du compte, il rassemble tout un petit monde autour de son projet et il doit s’assurer que ce petit monde ne va pas tout faire foirer.

Je me dis en passant, que ce Journal va aussi permettre de vous éclairer pas mal sur les nombreux métiers du cinéma ou en tout cas de l’audiovisuel. Car, même si on a l’impression de tout connaître sur tout, grâce à lnternet, aux making-of et tout ça, il reste encore pas mal de zones d’ombres de quiproquos qui sont, je dois le dire, assez énervants.
Mais comme le disait je ne sais plus qui, à nous, gens du cinéma, de faire comprendre au peuple ce que sont nos métiers. Sinon qui le fera ?

J'espère en tout cas que par cette petite note que j'ai essayée de faire concise, vous aurez eu une meilleure idée de ce qu'est réellement un producteur. Maintenant attention, le métier est beaucoup plus complexe et sujet à d'intenses ramifications que ce simple schéma exposé aujourd'hui...

A bientôt pour de nouvelles aventures !
(Mon chat n’arrête pas de miauler et c’est énervant !)

A.

vendredi 17 avril 2009

Qu'est-ce que c'est que ce Journal de Bord?

Ecrire ce Journal de Bord et que je publie sur le net (rhaaa encore des histoires de publication, y’en a marre ! Je reviendrais sur mes déboires de publication plus tard…), c'est avant tout pour pouvoir me « driver » comme on dit dans le métier (quel métier, ça je n’en sais rien mais bon…)

Le fait est que j’ai besoin de m’organiser dans une sorte d’étapes par étapes pour avoir l’impression :
1°) d’avancer et de travailler
2°) d’aller dans la (les) bonne(s) direction(s)
3°) il n’y a pas de 3°)

Et puis partager cette expérience, permet de recueillir des réactions, de voir si c’est plutôt positif ou négatif et puis qui sait, au hasard de quelques rencontres, avoir un ou deux conseils qui peuvent toujours aider et faire avancer le schmil…shimili…le smilili… bref d’avancer quoi…

Je vais essayer de faire le maximum de billets, non seulement pour tenir au courant la population qui – je n’en doute pas – est très impatiente de connaître mes périples, mais aussi, et surtout, en plus des points susse cités et nonobstant de la qualité intrinsèque inhérente à toute activité bloguesque lié par le fait que…quoi ? Attendez là, je ne sais plus où j’en suis.

Bref, écrire ce Journal de Bord me permettra aussi de valider chaque étape importante de ma création.

Salut les loulous !
(Yeap !)
A.

jeudi 16 avril 2009

Je veux produire... Des fraises? Des voitures? Non, non, mieux...

Bon finalement la redéco attendra, donc je peux enchaîner sur mes péripéties.

Si j’ai choisi de monter une société de production audiovisuelle, c’est pour plusieurs raisons, vous vous en doutez.

La première est que j’ai toujours voulu avoir des responsabilités, même si j’ai toujours eu peur d’en avoir. C’est un peu ça mon « problème », ou disons mon faux problème, j’ai peur de sauter le pas jusqu’au jour où je le fais et où je découvre que je le fais très bien. C’est vrai. Lors de ma 2nde année d’étude, j’étais convaincu que je ne pourrais jamais être 1er assistant réalisateur, jusqu’à ce qu’on me pousse limite à le faire sur un projet et que je découvre que j’étais très doué dans la matière (oui, oui, les fleurs ne sont pas chères aujourd’hui).
Même topo pour assistant producteur. En 3 ans, j’ai d’ailleurs acquis un peu d’expérience dans ce domaine là, et le travail que j’ai pu avoir avec des réalisateurs de renommée internationale (non non, je déconne pas) ont été une pierre supplémentaire dans mon édifice à moi, que je me construis pour mon future métier de producteur.

Donc, tout ça pour dire que désormais les responsabilités de chef d’entreprises et de producteur ne me font pas peur.

Quant à la production en elle-même, je suis un féru de cinéma (ce qui ne suffit pas, bien évidemment) et on fait souvent appel à moi pour des jugements et des analyses sur des scénarios, des films, voir même des idées. Ce qui me fait dire que quelques parts, j’ai un œil pour cet art.

Mais je suis conscient des grosses difficultés de ce métier. Tout d’abord n’est pas producteur qui veut et il faut surtout fuir les gros stéréotypes du genre type bedonnant derrière son bureau en marbre, fumant un gros cigare et négociant des hôtels de luxe pour loger ses acteurs hyper stars.
Producteur c’est dur, car il y a peu d’argent (encore plus vrai par les temps qui courent) et que le moindre « bide », le moindre échec est souvent fatal.

Bref, le chemin va être dur, long mais je me sens d’attaque, les épaules solides et puis, j’ai presque envie de dire, que je n’ai rien à perdre !

Salut les loustiques !
(Je vous salue bien bas !)

A.

mercredi 15 avril 2009

Lancement du Journal de Bord

Début du mois d'Avril 2009 et, officiellement, en ce Mercredi 15, je peux dire qu'il s'agit du 1er jour de ma nouvelle vie.

Bien entendu, tant que l'on n'a pas vécu la situation, on ne peut réellement comprendre en quoi le fait simple de "changer" de travail constitue une nouvelle vie, sauf si l'on décide de se reconvertir, ou de partir vivre à l'autre bout de la planète.

Non, nouvelle vie, tout simplement parce que pour la première fois, comme je l'ai si souvent répété à ma compagne, j'ai l'impression d'avoir un certain contrôle de ma vie.

Il faut dire que professionnellement parlant (on n'abordera pas le financièrement parlant) cela a toujours été assez "simple" pour moi.

Après être sortir de mes études au sein de l'ESRA, j'ai dû chercher un stage pour clôturer mon année. C'est dans une branche de l'audiovisuel dont je ne connaissais pas grand-chose que je l'ai trouvé: la production. Après six mois de stage, l'assistant producteur (donc la personne au-dessus de moi) est parti, et une place s'était donc libérée. J'ai eu le privilège que l'on me propose ce poste, et je n'ai même pas eu à dire oui ou non, cela paraissait tellement acquis par mes patrons que je n’aie fait que suivre le flot.

Presque 3 ans plus tard, je fus arrivé cependant à une telle impasse, que je ne pouvais continuer comme ça, au risque de vouloir, au final, me tirer une balle dans la tête.

Ce changement de travail, ou en tout cas, ce départ presque précipité, a eu lieu en Août 2008. Seulement voilà, après les grandes phrases, les espoirs et la volonté de percer, presque un an se sont écoulé et le bilan n’est pas très positif. Non seulement je ne travaille plus dans mon milieu (pour pouvoir vivre, payer les factures et faire semblant de gagner de l’argent, je suis vendeur dans une célèbre enseigne qui est apparemment un agitateur de curiosité) et tous mes projets personnels sont au point mort. Point de publication de livre, point de tournages en prévision, bref rien !

Alors voilà, en ce début d'Avril 2009, j’ai décidé de partir dans de nouvelles voies (encore !), histoire de se recentrer ! Et cette fois encore, je peux honnêtement dire que je commence une nouvelle vie.

Une nouvelle vie qui va agrémenter, je l'espère, deux axes professionnels importants:

_ L'enchaînement des préparations et tournages, ou des projets sur lesquels je serais assistant producteur, assistant réalisateur ou chargé de post-production

_ La création de ma propre société de production.

C'est en rapport avec ce deuxième axe, que j'ouvre ce journal de bord, afin de suivre au jour le jour (ou la semaine à la semaine) mes réflexions et démarches afin de créer ma société.

Je prendrai pour base l'excellent blog de Jean-Hubert DENECHAUD qui, certes, travaille dans une filiale complètement différente de la mienne (l'immobilier) mais qui a construit un blog très fourni, expliquant et témoignant, étape par étape, de la création de son entreprise.

Evidemment, on pourrait se dire que ce n’est pas le meilleur exemple à suivre, vu que son entreprise a fermé il n’y a pas si longtemps que ça (Aïe !) mais au contraire je trouve beaucoup de points positifs à cela (lui sans doute moins…). Tout d’abord, au travers de son expérience, je saurais les erreurs à ne pas produire ou à éviter. Et puis son blog est tellement bien fait et constructif, que toute la partie administrative de la création d’une entreprise est une mine d’or.

Bref, me voilà (ou en tout cas on va essayer au plus haut point) dans la peau d'un futur entrepreneur.

Dans ce Journal de Bord, je vais dans un premier temps tenter de définir mon idée de ma future société et mes prochains axes de travail.

J'essaierai d'y écrire le plus souvent possible.

Mais pour l'heure, il est temps de clôturer cette petite introduction et d'aller aider ma chère et tendre à redécorrer l’appart ‘!


Bien le bonjour chez vous!
A.